Résumé/4ème de couverture :
À travers la planète entière, des Preshauns meurent de honte
après avoir brusquement perdu leurs poils. Un mal étrange sur lequel Fourmille
doit enquêter. Point commun de toutes les victimes : un séjour à Abidjan. C'est
donc vers l'Afrique que s'envolent Yuri et Fourmille, qui doit également
résoudre le meurtre de Niele, célèbre conteuse ivoirienne, assassinée car elle
savait des choses sur la plante-qui-pue-des-pieds, celle-là même qui ferait tomber
les poils des Preshauns...
Mon avis :
Les tomes d’Ekhö, monde miroir sont toujours aussi plaisants et constituent vraiment
une valeur sûre. Et pour ce neuvième
tome, je ne suis pas vraiment impartiale puisque l’histoire se passe en Afrique Noire, notamment au Kenya… On retrouve donc le peuple
Massaï, les croyances locales, les animaux sauvages, le Kilimandjaro et les
grandes savanes aux paysages magnifiques. Et quand on sait que les illustrations
de cette série regorgent de couleurs flamboyantes et de détails à foison, elles
ne peuvent que s’accorder le plus parfaitement possible avec les grandes étendues
africaines. Encore une fois, cet album est un vrai ravissement pour les yeux.
Mais toute la beauté du livre n’occulte pas l’histoire qui se tient parfaitement bien. Elle est peut-être assez classique et n’apporte pas de grands rebondissements ou surprises mais elle m’a tout à fait convenue et s’accorde bien avec les illustrations car elle ne déséquilibre pas l’album, en bien ou en mal. En mettant au centre les Preshauns, le récit va offrir une dimension exotique dépaysante. On va y parler de contes, de croyances, de politique, de santé, d’enthomologie et de botanique
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