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jeudi 31 août 2017

Le gang des rêves (Luca Di Fulvio)




Traduction: Elsa Damien
Nationalité de l’auteur: Italienne
Editions Pocket (4 Mai 2017)
945 pages
ISBN-10: 2266272438
ISBN-13: 978-2266272438
Genre: Contemporain
Lu le: 23 Août 2017
Ma note: 17/20





Résumé/4ème de couverture:

New York ! En ces tumultueuses années 1920, pour des milliers d'Européens, la ville est synonyme de " rêve américain ". C'est le cas pour Cetta Luminata, une Italienne qui, du haut de son jeune âge, compte bien se tailler une place au soleil avec Christmas, son fils. Dans une cité en plein essor où la radio débute à peine et le cinéma se met à parler, Christmas grandit entre gangs adverses, violence et pauvreté, avec ses rêves et sa gouaille comme planche de salut. L'espoir d'une nouvelle existence s'esquisse lorsqu'il rencontre la belle et riche Ruth. Et si, à ses côtés, Christmas trouvait la liberté, et dans ses bras, l'amour ? 

Mon avis…:

…Général :

Que dire de ce livre et par où commencer tellement de choses peuvent être dites!!! Poussée (au bord du reniement^^) par Stéphanie qui en est totalement tombée en pavoison et que l’on pourrait rétribuer tellement elle fournie un boulot de publicité, je ne pouvais que le lire! Et c’est aussi sans compter la gentillesse de Florence qui me l’a offert (bah oui, j’avais pas droit de l’acheter étant à ce moment là dans un challenge 0 achat), étant donné qu’il était tout seul en occasion sur son petit étal…`
Bref, passant dans les « derniers » lecteurs de ce livre, je voyais et entendais maintes et maintes fois les avis oufissimes sur ce livre!! Et si j’allais pas aimé moi? Pas accroché? Et si j’en attendais trop? (bref, dans ma tête je suppliais que ce livre n’allais pas me faire le même effet que les fiancées de l’hiver…!!!).
J’avais prévu de lire ce livre en vacances, posée, tranquille et détendue pour pouvoir me plonger et apprécier pleinement ce pavé de 900 pages!
Verdict….: j’avoue que je n’ai pas eu totalement le coup de coeur que beaucoup ont eu, je me « contente » d’une très bonne lecture. Mais il est indéniable que ce livre regorge de tellement de choses (dont j’oublierais d’en parler pour certaines j’en suis sûre), que chaque lecteur peut y puiser quelque chose qui l’émoustillera plus qu’une autre. Et puis, j’ai beau chercher, je ne vois aucune remarques négatives ou critiques à émettre!

….Sur les personnages :

            L’histoire oscille entre différents personnages, les principaux étant Cetta et son fils Christmas (ce dernier prendra de plus en plus d’importance au fil des pages) et Ruth, que l’on suit sur 20 ans. 
Indéniablement, je suis tombée sous le charme de Cetta dés les premières pages du livre. Ce début de livre se concentre indéniablement sur elle, son enfance en Italie, sa fuite vers l’Amérique et le début de sa nouvelle vie à New York. Les chapitres consacrés à Cetta ont véritablement constitués un véritable coup de coeur. Même en étant un peu naïve (en même temps, débarquant dans un nouveau pays, un nouveau continent, dans une nouvelle culture, et en sachant sa situation, qui ne le serait pas un peu?), Cetta fait preuve de déterminisme en ayant toujours pour objectif d’être Américaine et d’entamer une nouvelle vie, SA vie. Mais c’est encore davantage qu’elle transmet cette force de vie en son fils, qui au fil de son éducation va prendre de plus en plus d’importance pour devenir véritablement le personnage principal du livre.

Ruth est présentée comme une jeune fille vivant dans une famille bourgeoise, qui ne manque de rien et qui semble se laisser bercer par sa vie douillette. Aux antipodes de Cetta, ce n’est pas la raison qui a fait que ce personnage m’a plutôt agacé, en majorité. Elle apparaît dans l’histoire de manière assez brutale et les moments où l’on s’intéresse à elle sont en définitif trop court. Difficile alors de s’y attacher tout de suite. Et ensuite, que ce soit dans ces malheurs, dans sa reconstruction ou dans le final de l'histoire, je n’ai à aucun moment réussi à la comprendre… 
Si elle était apparue beaucoup plus tard dans le livre, ou même si elle n’y était pas présente, cela ne m’aurait pas dérangée! 

Sans dévoiler qui est véritablement Bill, on le suit de temps en temps tout au long de l’histoire. On ne peut pas aimer Bill de part ses actions, néanmoins, vers les trois quarts du livre j’ai réussi à le cerner et à mieux le comprendre. C’est ce qui est intéressant avec ce personnage, dont on sait pas vraiment pourquoi au début on continue de le suivre, c’est de suivre son évolution psychologique et de voir ce qui peut se passer dans la tête de ce genre de personne. Et étrangement, j’ai réussi à davantage comprendre ce personnage que celui de Ruth… 

Points de vue/Critiques:

A la lecture du livre je me demande si Luca Di Fulvio n’aurait pas le retourneur de temps d’Hermione pour vivre à New York dans les années 20, tellement l’ambiance du lieu et de l’époque sont retranscrits de manière remarquable! Les bruits, les odeurs, les habitudes, et les gens de tout genre sont tellement bien pointés que l’on a l’impression de ne pas être chez soi en 2017! Le voyage dans le passé est assuré et il nous manque d’y retourner une fois le livre refermé.
A côté de cette ambiance fabuleuse, Luca Di Fulvio nous retrace de façon « historique » (sans véritablement le vouloir je pense) tout ce qui a traversé l’Amérique au fil de ces années. La condition des femmes, la prohibition, la prostitution, l’émergence des gangs, les quartiers distincts, les classes sociales, le modernisme, et les progrès culturels (radio, photo, l’écriture, etc…) ponctuent donc constamment l’histoire. 

Avec la plume fine et précise de Luca Di Fulvio, le « Gang des rêves » a un indéniable côté cinématographique. Je crois que c’est la première fois que je voyais les lieux et les détails de façon assez précise (sans pour autant avoir de longues descriptions de l’auteur, mais qui sait parfaitement quand et à quoi apporter des détails) et j’ai trouver des références que l’on retrouve dans Gang of New York ou Titanic. Et mieux encore, j’ai pu visualiser quels acteurs pourraient incarner les personnages: avec évidence Léonardo DiCaprio en Christmas, Emma Watson en Cetta, Emma Stone en Ruth, et Bryan Cranston en Sal.

Comme je le disais préalablement, je n’ai pas eu le coup de coeur pour ce livre qui aurait pû l’être si toute l’histoire était totalement concentrée sur Cetta. Mais ça c’est une question de scénario, donc on n’y peut pas grand chose! Quand Christmas a commencé à prendre plus d’importance dans l’histoire, il m’a fallu un petit temps d’adaptation (en « deuil » de Cetta) mais petit à petit j’ai appris à l’apprécier de plus en plus. Plus sa débrouillardise et son accession sociale et professionnelle se développaient, plus mon attrait et mon affection pour Christmas grandissaient! Mais bon, Cetta n’était pas totalement partie de mon esprit et arrivé vers la fin du livre il me tardait de la retrouver!

J’ai beaucoup aimé la fin de ce livre qui part dans son petit côté romantique qui fait du bien après presque 900 pages de souffrances, de constructions et de réédifications. Même si cette fin me convient parfaitement, je m’attendais peut-être à avoir la surprise de trouver quelque chose de flamboyant et d’assommant, mais peut-être étais-je totalement conditionnée par l’ambiance forte parfois dérangeante. 

En bref:


            Même si ce n’est pas véritablement un coup de coeur pour moi, ce livre est une jolie et rare pépite dont on fait rarement la rencontre. Il faut absolument lire ce livre qui devient très vite addictif et dans lequel l’auteur dépeint à la perfection l’ambiance du New York des années 20 avec des personnages variés et haut en couleurs. Bonsoir New York et à bientôt dans les Diamond Dogs!!

mercredi 30 août 2017

Une seconde chance (Nicholas Sparks)



Titre original: The Best of Me
Traduction: Jean-Noël Chatain
Nationalité de l’auteur: Américaine
Editions Michel Lafon (11 Avril 2013)
364 pages
ISBN-10: 2749917603
ISBN-13: 978-2749917603
Genre: Romance
Lu le: 25 Août 2017
Ma note: 15/20
Adapté au cinéma en 2014 « Une seconde chance »



Résumé/4ème de couverture:

Liés par un amour sans limite, Amanda et Dawson n'imaginent pas vivre l'un sans l'autre. De milieux sociaux très différents, les deux adolescents luttent contre les préjugés de leur petite ville de Caroline du Nord. Mais des événements imprévus vont les amener à emprunter des chemins radicalement différents. Vingt-cinq ans plus tard, Dawson vit seul tandis qu'Amanda est mariée et mère de trois enfants. À l'occasion de la mort d'un ami commun, ils se retrouvent et découvrent que la passion qui les a unis est restée ancrée au plus profond d'eux-mêmes. Ce rapprochement soudain va les pousser à répondre à la question qui les tourmente: l'amour peut-il renaître de ses cendres ?

Mon avis…:

…Général:

            Si j’ai acheté ce livre en grand format, c’est dire l’occasion qui s’est présentée en sachant en plus, qu’il n’est pas toujours évident de trouver les livres de Nicholas Sparks en format poche. Comme bien souvent, Nicholas Spark arrive à nous emmener dans sa barque intimiste au milieu d’une belle histoire d’amour, à la fois toujours tragique même si l’originalité de celle-ci ne m’a pas surprise, pour l’avoir déjà lue ailleurs….

… Sur les personnages:

Dawson et Amanda sont tous deux assez attachants. Avant leurs retrouvailles, l’auteur nous présente ses personnages de façon équitable, ce qui fait que l’on a véritablement un duo de personnages principaux, l’un ne prenant jamais le dessus sur l’autre. N.Sparks arrive à nous les décrire longuement, dans leur vie quotidienne et dans leurs habitudes, sans jamais nous ennuyer ou nous en lasser.  En effet, que se soit la description de la préparation d’un dîner, son déroulement, puis le moment de se coucher, la routine du soir etc, toutes ces habitudes de vie quotidiennes peuvent devenir très vite plan-plan et inintéressants. Mais c’est là toute la force et la plume caractéristique de Nicholas Sparks qui arrive à nous entraîner dans cette simplicité, en nous hypnotisant en quelque sorte!

Points de vue/Critiques:

Même en se focalisant parfois sur le quotidien des protagonistes et en connaissant les signatures caractéristiques de fin d’histoires de Nicholas Sparks, il arrive toujours à nous apporter beaucoup d’espoir à travers notre lecture et à nous évader. Les pages défilent à une vitesse folle sans s’en rendre compte, totalement obnubilée par l’histoire et les personnages. 
Au fur et à mesure que se tournent les pages, on sent le suspense et l’enjeu pour les personnages augmenter au fur et à mesure pour arriver à un final digne de Nicholas Sparks. Cependant, pour ce livre, je n’ai pas du tout était surprise par le final, voire un peu déçue puisque étonnement c’est le même dénouement que l’on retrouve dans « les rescapés du coeur »…

L’amour reste le point central du livre et pas seulement à travers le couple formé par les personnages principaux Dawson et Amanda, puisque deux autres histories d’amour sont décortiqués avec Amanda et son mari Jack, ainsi qu’avec Tuck et Clara.
Néanmoins, Nicholas Sparks n’hésite pas à aborder d’autres thèmes, plus douloureux, sans en faire d’apologie ni de dénonciation. Alcoolisme, deuil, culpabilité, pardon et rédemption sont donc abordés grâce aux personnages principaux comme aux personnages secondaires qui apportent donc ce poids supplémentaire enrichissant l’histoire initiale. 

En bref:         

            Accompagné de tragédies que malheureusement chacun peut retrouver dans sa vie et de thèmes variés et douloureux, ce livre reste malgré tout une ode à l’histoire d’amour puisque l’on y retrouve plusieurs histoires d’amour menées différemment et chacune à leur manière par le biais de divers personnages, simples et attachants, possédant avec réalisme leur propres failles. 

Autour du livre:      

  • Film « Une seconde chance », sorti le 7 Octobre 2014, réalisé par Michael Hoffman avec Michelle Monaghan dans le rôle d’Amanda et James Marsden dans le rôle de Dawson.




vendredi 25 août 2017

Quelqu'un pour qui trembler (Gilles Legardinier)





Nationalité de l’auteur: Française
Editions Pocket (5 Janvier 2017)
480 pages
ISBN-10: 2266273353
ISBN-13: 978-2266273350
Genre: Contemporain
Lu le: 18 Août 2017
Ma note: 17/20




Résumé/4ème de couverture:

Pour soigner ceux que l’on oublie trop souvent, Thomas a vécu des années dans un village perdu en Inde. Lorsqu’il apprend que la femme qu’il a autrefois quittée a eu une fille de lui, ses certitudes vacillent.
Il lui a donné la vie, mais il a moins fait pour elle que pour n’importe quel inconnu. Est-il possible d’être un père quand on arrive si tard ? Comment vit-on dans un monde dont on ne connaît plus les codes ? Pour approcher celle qui est désormais une jeune femme et dont il ne sait rien, secrètement, maladroitement, Thomas va devoir tout apprendre, avec l’aide de ceux que le destin placera sur sa route.

Mon avis…:

…Général :

Encore une sortie poche que j’attendais avec impatience: le dernier Gilles Legardinier! Bon, passons outre la mini déception de ne pas retrouver un chat en couverture (mais que l’on retrouve toujours heureusement dans l’histoire!), j’ai eu un peu de mal à me plonger totalement dans l’histoire au début du livre et à y adhérer, sans véritablement savoir pourquoi. Mais plus les pages étaient tournées, plus j’étais accroc au point d’engloutir les dernières 200 pages en quelques heures. 
J’ai donc adoré ce nouvel opus de Gilles Legardinier, que j’ai refermé avec tristesse, et qui s’est d’ailleurs hissé sur la deuxième place du podium dans mon petit classement des meilleurs livres de l’auteur, « Complètement cramé » restant en pole position!

….Sur les personnages :

            Comme tous les personnages de Gilles Legardinier, ils sont tous attachants, quelque soit leur condition et leur âge, et il faut dire que l’on a de tout dans ce livre! Des jeunes et des moins jeunes, des vieux et des moins vieux, des enfants, des chats, un chien, un médecin, des retraités, un chanteur lyrique presque SDF, de tout!

Thomas, le médecin humanitaire de retour en France est le personnage principal de l’histoire. Après ses études, il est parti en mission humanitaire en Inde, mission provisoire qui s’est éternisée… Prenant la décision de retourner en France afin de connaître sa fille, la réadaptation n’est pas dés plus simples. J’ai aimé le fait que l’auteur prenne le temps que nous parler de Thomas, jeune étudiant plein d’idéaux en partance pour l’Inde, puis sa vie dans le village loin de tout en étant considéré toujours plus ou moins comme un étranger, même s’il y a trouver sa place et une famille, et enfin son retour en France où il a du se réadapter à tout ce qu’il l’entoure!
On retrouve donc tous ses ressentis contradictoires entre quitter une « fausse » famille en Inde pour retrouver sa « vraie » famille encore inconnue en France. Ses interrogations sont donc multiples entre la gestion de sa nouvelle vie et comment se rapprocher de sa fille qui ne le connaît pas, sans la bouleverser.
Néanmoins, dans sa manière de s’approcher de sa fille, en l’épiant tous les jours et en la suivant quasiment partout où elle va en suivant son emploi du temps et ses habitudes, Thomas m’a fait tout de même peur! Je l’ai trouvé très inquiétant, et même en sachant pourquoi il fait tout ça sans aucune mauvaises arrières pensées, il a tout du pervers psychopathe! Evidement, il est loin de l’être, et c’est un personnage tout aussi attachant que les autres.

Les petits vieux de la maison de retraite, dont Thomas devient le directeur, sont juste extraordinaires et terriblement attachants! Seulement 5 pensionnaires, mais tous sont hauts en couleurs! Des personnalité bien différentes, des caractères bien distincts et ne faisant pas toujours bon ménage, des habitudes quotidiennes propres à chacun et des loisirs qui ne coïncident jamais! Cela les rends d’autant plus humains et réalistes!
Bref, au milieu de ce petit monde et avec l’humour de Gilles Legardinier rendant quelques situations bien drôles, on a littéralement l’impression d’être au milieu d’une cour de récréation avec de véritables enfants pleins de malice et de caprices! C’est simple, en suivant leurs aventures quasi quotidiennes, on a l’impression de vivre dans cette maison de retraite ultra joyeuse et communautaire dont le fait de la quitter nous pince le coeur… 

Pauline, l’infirmière de la maison de retraite c’est un tempérament de feu avec un coeur de coton à l’intérieur! Sa flamboyance tombe à pic pour Thomas puisqu’elle va plus d’une fois, à notre plus grand bonheur, lui donner des coups de pieds aux fesses! Mais que se soit pour Thomas ou pour tous les membres de la maison de retraite, on nous montre clairement toute sa bienveillance et toute sa dévotion envers eux, au point pour elle, d’être dans le rouge financièrement. 
Et avec un petit garçon, tout aussi intelligent et vivace, qu’elle élève seule, Pauline a tout de suite des airs de Super-woman!

Points de vue/Critiques:

Pas beaucoup de choses à dire sur le fond, puisque on remarque que tout se dit avec les personnages! On comprend dés lors que c’est là, véritablement la force de l’écriture de Gilles Legardinier, qui fait une analyse parfaite et réaliste de ses personnages pour nous les rendre proche de nous. C’est tout de suit plus authentique et on adhère! 

Et comme pour chacun de ses livres, derrière la façade d’un style humoristique ou de chick-lit le tout nous plongeant dans quelque chose de léger (qui est le cas), on retrouve néanmoins, toujours des sujets sérieux et d’actualité. Ici, c’est notamment la recherche de paternité et/ou d’une famille au delà parfois des liens du sang, ou encore l’isolement social et la condition des vieilles personnes placées en maison.

Le titre du livre réserve toujours une petite surprise puisqu’il prend tout son sens au fil de l’histoire jusqu’à y mettre clairement les mots. De plus, les remerciements en fin d’ouvrage montrent encore une fois toute la sincérité et la sympathie de Gilles puisqu’ils peuvent parfaitement nous faire monter la larme à l’oeil… si l’histoire ne l’a pas déjà fait!

En bref:

            Encore une petite merveille signée Gilles Legardinier, qui fait parti de mon top des favoris. On retrouve cette fois-ci un joli melting-pot de personnages qui sont ultra attachants comme d’habitude, nous entraînant dans des situations et des discours cocasses et drôles. Un indéniable très bon moment de lecture, qui nous rend triste une fois terminée, mais qui pointe toujours sur des sujets précis d’actualité. 

Autour du livre:
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    •   Ça peut pas rater ! (ß chronique à retrouver ici)
    • L’exil des anges  (ß chronique à retrouver ici)