L’ASSASSIN QU’ELLE MÉRITE, TOME 3: LES ATTRACTIONS
COUPABES
Scénario: Wilfried Lupano
Illustrations: Yannick Corboz
Nationalité des auteurs: Française
Editions Vents d’Ouest (21
Mai 2014)
56 pages
ISBN-10: 2749307368
ISBN-13: 978-2749307367
Genre: Bande-dessinée
Lu le: 24 Février 2018
Ma
note: 15/20
Résumé/4ème de couverture:
Bien
que leurs vies aient été détruites par les manipulations d’Alec, Victor et
Klément semblent encore nourrir une malsaine dépendance envers leur mécène. Ils
décident de le retrouver à Paris où se déroule justement cette année
l’Exposition universelle. Un lieu étrangement propice pour la venue de Victor
en tant qu’œuvre d’art vivante… Irrésistiblement attiré par son ancien mentor,
Victor se fait espion et découvre peu à peu que si Alec est à Paris, ce n'est
pas simplement pour profiter des attractions de l'exposition. Le dandy viennois
a de surprenantes fréquentations et semble nourrir de sombres desseins.
Scénario: Wilfried Lupano
Illustrations: Yannick Corboz
Nationalité des auteurs: Française
Editions Vents d’Ouest (12 Octobre 2016)
56 pages
ISBN-10: 2749308186
ISBN-13: 978-2749308180
Genre: Bande-dessinée
Lu le: 25 Février 2018
Ma
note: 14/20
Résumé/4ème de couverture:
Paris,
1900. Victor a finalement sauvé Léna, celle qu'il avait prévu d'assassiner pour
se venger d'Alec ! Dès lors, comment parvenir à faire payer son ancien mentor ?
La réponse se trouve peut-être dans la lettre de revendication qu'il a
subtilisée à ses nouvelles fréquentations. Un couple de révolutionnaires qui
compte faire exploser le prestigieux palais de l'électricité, alors même que le
débat sur la modernité frappe le Paris de l'Exposition Universelle...
Mon avis:
Je dois avouer
que je ne me rappelais plus vraiment des deux premiers tomes, hormis qu’ils
étaient assez complexes et pas vraiment attrayants. Mais je voulais avant tout,
savoir le fin mot de l’histoire et clôturer cette saga. Etonnement, avec le
résumé de 4ème de couverture, peu importe si l’on se rappelle ou non des éléments
précédents, puisque l’essentiel est rappelé. De plus, c’est comme si ces deux
derniers tomes, formaient un dyptique presque à part. Quoiqu’il en soit, même
si l’histoire ne m’a toujours pas paie plus passionnante, elle a eu le mérite
d’être un peu plus calme, posée et compréhensive!
Sur fond de l’exposition universelle de 1900, cadre
que j’ai beaucoup aimé, l’auteur dépeint toujours la même critique à travers
son histoire, celle de la veine sociale qui est, plus que jamais, abordée de
front, avec, dans le rôle du financier ombrageux, celui-là même qui, de tout
temps, sait tirer parti d’une providentielle naissance en milieu
privilégié. Il est donc surtout question du pouvoir de l’argent et
de son influence, de ses conséquences y compris lorsqu'il est question d’amour.
La
fin de toute cette série est assez inattendue
et décevante. On reste un peu sur notre faim...
En bref:
Ces
deux derniers tomes de la série peuvent être pris ensemble mais presque de
façon séparés par rapport aux deux premiers puisque l’histoire semble moins
sombre, plus simple et beaucoup plus compréhensible, même si elle repose
toujours sur les mêmes bases. D’ailleurs, elle aurait peut-être pû être
condensée en moins de volumes, d’autant plus que la fin laisse à désirer...
Autour du livre:
- Tome 1: Art nouveau (<-- chronique à retrouver ici)
- Tome 2: La fin de l'innocence (<-- chronique à retrouver ici)
- Livre emprunté à la bibliothèque
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