Nationalité de l’auteur: Française
Editions Fayard (2 Mai 2019)
349 pages
ISBN-10:2213709831
ISBN-13: 978-2213709833
Genre: Contemporain
Lu le: 1er Mai 2019
Ma
note: 19/20
Résumé/4ème de couverture:
"Lorsque
nous avons emménagé impasse des Colibris, nous avions vingt ans, ça sentait la
peinture fraîche et les projets, nous nous prêtions main-forte entre voisins en
traversant les jardins non clôturés. Soixante-trois ans plus tard, les haies
ont poussé, nos souvenirs sont accrochés aux murs et nous ne nous adressons la
parole qu'en cas de nécessité absolue. Nous ne sommes plus que six : Anatole,
Joséphine, Marius, Rosalie, Gustave et moi, Marceline. Quand le maire annonce
qu'il va raser l'impasse - nos maisons, nos mémoires, nos vies -, nous oublions
le passé pour nous allier et nous battre. Tous les coups sont permis : nous
n'avons plus rien à perdre, et c'est plus excitant qu'une sieste devant
Motus". A travers le récit de leur combat et une plongée dans ses
souvenirs, Marceline raconte une magnifique histoire d’amour, les secrets de
toute une famille et la force des liens qui tissent une amitié.
Mon avis:
Comme
le prince charmant attendant sa princesse, comme Arthur cherchant le Graal,
comme Scrat courant après sa noisette, le dernier livre de Virginie est tout
aussi attendu que ces derniers exemples, pour toute la communauté de lecteurs
(trices)/bloggeurs (euses). Merci donc aux éditions
Fayard de m’avoir envoyé ce livre qui m’a permis de le découvrir quelques
jours avant sa sortie et d’avoir partager ma lecture avec ma copine Florence (du blog Flo and books),
parce que oui, se marrer à plusieurs, c’est encore plus fun !
Points de vue/Critiques:
À
la question, est-ce qu’un auteur peut encore nous surprendre et nous embarquer
avec délectation après 4 autres romans ? Et bien la réponse est oui quand
on s’appelle Virginie Grimaldi ! Car hormis
« Le parfum du bonheur
est plus fort sous la pluie » qui est peut-être le livre que j’ai le
moins apprécié car il m’a le moins touché et m’a moins fait rigoler, tous les
autres précédents livres de l’autrice m’ont fait tellement kiffer, rigoler, réfléchir et toucher que c’est le genre de livres dont
les histoires vous restent imperceptiblement en mémoire longtemps après et que
l’on prendrait plaisir à relire chaque année, avec toujours ses mêmes émotions
ressenties lors de la première lecture. La barre était donc déjà bien haute
niveau satisfaction mais avec ce cinquième roman, on surpasse tous les autres livres, et il est pour moi mon préféré.
Comment
décrire tout le bonheur ressenti
durant ces quelques heures de lecture ? Dans cette histoire une nouvelle
fois remplie d’authenticité, d’humanité
et de douceur, ce sont avant tout les
souvenirs qui sont mis à l’honneur, forgés et transmis par nos précieux
aïeuls, souvenirs que nous devons tous chérir, qui font notre histoire
personnelle et familiale, qui forgent nos racines, qui nous permettent de
grandir, de s’émanciper et de créer nos propres souvenirs, à transmettre. Mais
on retrouve également une magnifique histoire
d’amour, racontée par des octogénaires
(je pense que l’amour raconté et prouvé à cet âge est ce qu’il y a de plus
beau) et une superbe histoire d’amitié,
racontée par des « octogéniaux ».
Avec
tout ces personnages, tous plus charismatiques et attachants les uns que les
autres, on va pleurer de rire (gros
big-up pour la page 47 à mourir de rire, la génialissime chanson de rap, le
bonheur de retrouver l’accent de Caroline la cagole, et bien sûr les péripéties
aventureuses du groupe des octogéniaux qui n’est pas sans rappeler par leurs
actions « les vieux fourneaux » !!) et on va frissonner d’émotions. Outre ces
ressentis, presque attendus je dirais avec Virginie Grimaldi, j’ai aussi été surprise tout le long du roman par les
quelques révélations fracassantes
disséminées çà et là, et bien par cette fin… tout simplement magnifique !
En bref:
Avec ce cinquième roman que je
préféré et que je classe au-dessus des autres, c’est encore un véritable coup
de cœur !!! Je vous invite vraiment à découvrir Marceline et Anatole,
ainsi que leurs acolytes formant les « octogéniaux » qui portent
tellement bien leur nom ! Tout ce petit monde nous entraine dans une
histoire authentique, humaniste et tendre où les souvenirs, l’amour et l’amitié
sont mis en lumière, bref, une histoire touchante qui vous fera également
mourir de rire ! Entre rire et émotions, « Quand nos souvenirs
viendront danser » peut se résumer au fait qu’il vous touchera droit en
plein cœur tout en se déversant régulièrement aux coins des yeux.
Comme ce livre me fait envie !!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerCertaine que tu ne seras pas déçue!!!!!!
SupprimerJ'ai troooop envie de le lire ! Ma prochaine lecture de Virginie Grimaldi est "Tu comprendras quand tu seras plus grande" :)
RépondreSupprimerHa oui le premier que j'ai lu il me semble! Et ce petit dernier est peut-être un cran au dessus pour moi mais ça ce sont des appréciations personnelles qui entrent en ligne de compte après! ;)
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