Scénario et Illustrations: Bernard
Yslaire
Nationalité de l’auteur: Belge
Editions Glénat (7 Mai 2003)
Collection Caractère
48 pages
ISBN-10: 2723441407
ISBN-13: 978-2723441407
Genre: Bande-dessinée
Lu le: 16 Novembre 2017
Ma
note: 14/20
Résumé/4ème de couverture:
21-22 février
1848. La révolte gronde et le peuple se mobilise aux cris de "Liberté,
liberté..." Mais la révolution a tant de visages... Il y a celle guidant
le peuple, que Delacroix a peinte en 1830, il y a celle de 1848, que Valdieu ne
peindra pas, et puis il y a celle dont Bernard rêve et qui ressemble à une
fille aux yeux rouges... Dans le Paris troublé de février 1848, chacun paiera
le prix pour avoir voulu la posséder, et changer sa destinée...
Mon avis:
Bon rien ne va
plus entre « Sambre » et moi… Avec ce troisième tome, Bernard Yslaire
m’a totalement perdue… Non seulement je ne sais pas où il veut nous amener
puisque j’ai l’impression que l’histoire entre Bernard et Julie n’avance pas
d’un iota (alors que nous sommes quand même déjà au troisième tome), mais en
plus je ne comprend rien au scénario. Heureusement que j’ai lu les trois
trilogies « La guerre des Sambre » au préalable pour mieux comprendre
les filiations! Donc malheureusement, je ne sais pas si je vais continuer cette
série…!!!
Une des rares
choses que j’ai pu comprendre et que j’ai aimé dans le scénario, ce sont les
nombreuses références au tableau d’Eugène Delacroix « la liberté guidant
le peuple » puisque Bernard Yslaire se l’approprie et l’intégré étonnement
mais parfaitement à son histoire.
En bref:
Avec
une histoire qui ne donne l’impression de ne pas avancer du tout, à part
compliquer inutilement et paradoxalement la relation entre Bernard et Julie, ce
troisième tome de la saga est une déception. Et puisque je comprend de moins le
moins les scénarios sans avoir la moindre idée vers laquelle veut nous emmener
Bernard Yslaire, je ne pense pas continuer cette saga.
Autour du livre:
- Tome 1: Plus ne m’est rien… (<— chronique à retrouver ici)
- Tome 2: Je sais que tu viendras… (<— chronique à retrouver ici)
- Livre emprunté à la bibliothèque
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