Scénario: David Chauvel
Illustrations: Tim McBurnie
Nationalité des auteurs: Française et
Australienne
Editions Delcourt (5 Novembre 2014)
80 pages
ISBN-10: 2756006254
ISBN-13: 978-2756006253
Genre: Bande-dessinée
Lu le: 26 Janvier 2017
Ma
note: 12/20
Résumé/4ème de couverture:
Pinocchio, pantin de bois né des
mains du menuisier Geppetto est un bien mauvais fils, qui a envoyé son pauvre
père en prison et doit maintenant se faire pardonner. Ainsi débute l’histoire
du pantin qui voulait devenir un vrai petit garçon. Un récit hors du temps,
jouant des contrastes et mêlant habilement cruauté, humour et poésie pour
évoquer des thèmes universels comme la paternité ou le rapport à la différence.
Mon avis:
Je continue de découvrir l’origine
des contes et des dessins animés de Walt Disney avec cette fois-ci Pinocchio
mais sous forme de bande-dessinée. Heureusement que c’était sous ce format, car
j’avais hâte de terminée ma lecture.
Encore une fois contente d’avoir pu découvrir l’origine de l’histoire de
Pinocchio telle qu’elle a été écrite et de découvrir son auteur, mais
totalement désopilée par l’histoire en elle-même.
Points de vue/Critiques:
Je n’ai pas
réussi à retrouver les thèmes évoquer dans le résumé de 4ème de couverture.
Pour moi cette histoire est (trop) simple
voire un peu bébête, avec un pantin beaucoup trop naïf et j’ai trouvé que
l’ensemble allait trop vite sans réel enchainement logique.
Au fil de
l’histoire, on retrouve finalement une succession
de petites histoires de une ou deux pages, qui s’enchaînent les unes après
les autres sans transition entre elles mais aussi entre les vignettes
elles-mêmes. Ce qui est d’autant plus dommage, car parfois certains détails
sont importants et inclus dans l’histoire et passent quasiment inaperçus, mais
pas assez ou mal mis en avant.
Quant aux
personnages, lorsque de nouveaux arrivent dans l’histoire et rencontrent
Pinocchio pour la première fois, chacun d’entre deux connaissent Pinicchio et
son prénom: c’est quand même fort! Tout comme le fait de considérer le dauphin
comme un poisson! Bref, ces incohérences
m’ont agacée! Ajoutez à cela un petit Pinocchio qui est naïvement bipolaire: un
coup je fais des bêtises en me laissant entraîner comme un débutant, puis
l’instant d’après je me repenti et prend de solides résolutions en disant de
jolies petites phrases telles que « c’est l’amour que j’ai pour vous qui
m’a ouvert les yeux » pour au final, recommencer les bêtises...
En bref:
Ravie
d’avoir pu découvrir la véritable histoire de « Pinocchio » et son
auteur, mais l’histoire reste très dense par sa multitude de petites histoires
successives presque sans fin et sans liens, le tout sur fond de grande naïveté,
rendant le tout assez indigeste!
Autour du livre:
- Livre emprunté à la bibliothèque
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