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mardi 30 août 2022

La nouvelle arche (Julie de Lestrange)




Nationalité de l’auteur: Française

Editions Le Livre de Poche (16 février 2022)

796 pages

ISBN-10:‎ 2253103772

ISBN-13:‎ 978-2253103776

Genre: Science-fiction

Lu le: 26 Juillet 2022

Ma note: 15/20

 

 

 

 

Résumé/4ème de couverture:

Mathilde fait la fierté de sa communauté.

Elle est forte, talentueuse, amoureuse... Son destin est tout tracé.

Le jour où un mal inconnu touche les nouvelles générations, elle se lance dans une course contre la montre pour les sauver. Ce qu’elle découvre pourrait bien bouleverser son avenir et celui de toute l’humanité.

Mon avis:

            Je ne suis pas très habituée au genre de la science-fiction, mais la dystopie est peut-être le sous-genre que je lis le plus même si elle peut se compter sur les doigts d'une main. Je ne sais pas si cela est dû à ma faible expérience dans le genre, mais cette série m'a littéralement convaincue par son histoire, ses actions et surtout ses messages sous-jacents. L'univers est largement maîtrisé, les personnages sont attachants même s'ils manque un peu de profondeur car on aimerait s'attarder davantage sur eux parfois. L'alternance des points de vue maintient le suspense et le changement de lieux d'action dans les différents tomes font que la saga est très dynamique et prenante. Une très bonne série de dystopie avec des thématiques au goût du jour qui peuvent sérieusement faire réfléchir.

Points de vue/Critiques:

             L'univers de "La nouvelle arche" nous immerge dans un futur dystopique mais pas forcément utopique tant il peut être plausible. Avec Mathilde, le personnage principal nous découvrons un monde où tout ce que l'on connaît de plus basique à disparu et où beaucoup de choses sont artificielles. L'environnement est quasi désertique et la météo et la lumière sont peu définies, ce qui fait que la population vit sous terre. Les ressources alimentaires sont donc exploitées de manière artificielle. La notion de populations et de cultures sont abrogées et il est désormais question de Communauté où les frontières délimitent les territoires de manière stricte. Et c'est dans cet univers que l'histoire va commencer en abordant une thématique majeure, celle de la conception. En effet, face à ce futur où les enjeux climatiques et les ressources sont plus que jamais essentiels et nécessitent un fort contrôle, la démographie et le contrôle des populations doit être aussi logiquement contrôlé. Le récit part ainsi de ce contrôle des naissances qui passe par l'élevage d'embryons et d'une gestation de 15 ans, qui, suite à un dysfonctionnement permet à Mathilde de s'interroger et de progressivement lever le voile sur tout ce qu'elle prenait pour acquis. 

            Dés le début du récit, tout est savamment maîtrisé entre les éléments de l'univers qui nous sont progressivement donnés afin de bien se l'imaginer, les petites interrogations qui restent ça et là en suspend, idéal pour susciter l’intérêt et enfin les actions et les péripéties régulières qui dynamisent l'histoire. On a donc un vrai page-turner qui ne tombe pas dans les codes des histoires de dystopies déjà vues même s'il est vrai que l'on retrouve cette thématique écologique avec une question de virus et de vaccin. Mais les changements de lieux d'actions entre les différentes parties donnent une certaine force et particularité à cette histoire car on va découvrir les points de vue de deux mondes différents. La rencontre de ces deux mondes qui se côtoient amènent les personnages et le lecteur à une certaine prise de conscience. Il sera alors question d'enjeux politique, de dictature, de conditionnement et d'ennemis.

        Avec toutes ces thématiques et cette histoire rondement bien menée, l'autrice porte un regard très intéressant sur ce que pourrait devenir l'espèce humaine et même si cela est terrifiant, il l'est d'autant plus quand on peut facilement faire des comparaisons avec notre société actuelle où l'on retrouve des similitudes à moindre échelle pour le moment. C'est pourquoi, en basant cette histoire sur les réflexions autour du climat, de la science, de la politique et surtout autour du contrôle des naissances et la préservation de l’espèce humaine en fonction des ressources, "La nouvelle arche" peut parler à tout le monde, que l'on aime ou non les romans de science-fiction. En ayant cette base très solide pour ce roman, un bémol viendrait des personnages qui sont assez attachants, mais qui ne sont pas assez approfondis pour moi, comme s'ils étaient passaient au second plan par rapport aux messages que l'on souhaite véhiculés. 

En bref:

        « La nouvelle arche » est un bon roman de science-fiction qui s'inscrit dans les codes de la dystopie mais qui offre une certaine singularité et modernité. L'autrice dépeint un univers riche, intéressant et très bien maîtrisé dans lequel on s'immerge avec facilité d'autant plus que l'intrigue suscite l'intérêt dés le début avec des petites interrogations qui restent ça et là en suspend et des actions et des péripéties régulières qui dynamisent l'histoire. Mais c'est surtout les thématiques abordées qui portent cette histoire rondement bien menée vers le haut. Les réflexions portent autour du climat, de la science, de la politique et surtout autour du contrôle des naissances et la préservation de l’espèce humaine en fonction des ressources. L'autrice porte ainsi un regard très intéressant sur ce que pourrait devenir l'espèce humaine et "La nouvelle arche" peut donc parler à (et terrifier) tout le monde, que l'on aime ou non les romans de science-fiction.

dimanche 30 mai 2021

Nous, les magnifiques (Julie de Lestrange)





Nationalité de l’auteur: Française

Editions Mazarine (23 Avril 2021)

363 pages

ISBN-10: 2863748637

ISBN-13: 978-2863748633

Genre: Contemporain

Lu le: 7 Mai 2021

Ma note: 15/20

 



Résumé/4ème de couverture:

Alexandre a réussi.

Il partage son temps entre son métier, sa famille et des projets qui fourmillent.

Dans cette course effrénée, il ne voit pas que son monde se délite, petit à petit.

C’est l’histoire d’un homme qui pensait tout connaître de l’existence.

C’est aussi l’histoire de Marco, Claude, Anouk et Sophie.

De ces  amis que l’on garde pour la vie,

et de nos défaites, dont jaillissent les plus grandes espérances.

Mon avis:

            Non seulement je ne m'étais pas renseigné sur une nouvelle sortie livresque de la part de l'autrice, mais en plus j'ai été doublement agréablement surprise de constater que "Nous, les magnifiques" s'inscrivait pas le troisième tome de la série "Hier encore, c'était l'été". Une chouette occasion de retrouver une nouvelle fois toute la bande de copains, dans l'acheminement naturel et logique de la vie. Et c'est dans leur quarantaine que nous retrouvons l'histoire d'Alexandre, mais aussi de Anouk, Claude, Marco et Sophie, qui nous font passer un bel instant de lecture.

Merci les éditions Mazarine pour l'envoi de ce livre!

Points de vue/Critiques:

            Dans ce troisième tome, on va retrouver majoritairement Alexandre, qui est quasiment au sommet de sa vie, puisqu'à 40 ans, il a tout ce que le quarantenaire accompli a. Il a très bien réussi professionnellement en se donnant corps et âme à son métier en partant tôt le matin et en rentrant tard le soir, ce qui fait qu'il gagne bien sa vie. Il est marié et père de deux enfants, une belle maison, mais profiter finalement très peu de sa vie privée, partagée entre la famille, les amis et les quelques loisirs. On se rend vite compte que Alexandre représente une sorte d'archétype, mais tout lui sourit et il semble heureux. Mais rapidement, quelques évènements vont venir enrayer la surface lisse et propre de son existence. Alexandre va ainsi se rendre compte que sa vie n'est presque que du bluff et que le bonheur vrai n'est pas dans son quotidien. Ses certitudes vont progressivement voler en éclats et il est très touchant car en même temps qu'il se rend compte des rouages de sa vie, il arrive à se remettre tout de suite en question, tout en étant le soutien des gens qui l'entoure. Alexandre est un personnage rassurant aux épaules larges et exemplaire, et sa sensibilité nous entraîne avec passion. 

            Avec le personnage de Sophie, l'autrice aborde la question de la perte d'emploi à 40 ans, et donc le futur professionnel. Entre remise en question personnelle, doutes, introspections et envies et espoirs, elle montre à quel point cette stabilité professionnelle qui bascule dans l'instabilité peut impacter la vie d'un couple et d'une famille. Ajouté à d'autres grains de sable touchant d'autres personnes, tout peut ainsi rapidement basculer. On retrouve cette idée de spirale infernale qui est bien réaliste. Et puis, au gré des remises en question, du temps et du recul pris quand cela est nécessaire, chacun remonte la pente comme il peut. 

            Si l'histoire est racontée selon le point de vue d'Alexandre, on retrouve quand même quelques chapitres consacrés à Sophie ou à Claude. Mais je doit avouer que j'aurais aimer retrouver beaucoup plus souvent ces autres personnages, plus à la façon d'un roman chorale comme on pouvait le retrouver dans "hier encore, c'était l'été". Néanmoins, cette construction est assez logique par rapport aux thèmes abordés. De plus, on pourrait aussi déplorer, en comparaison avec les deux autres tomes de la série, de ne pas avoir plus d'évènements, de péripéties ou d'actions. Mais là encore, une certaine logique se retrouve étant donné que nous sommes en présence de protagonistes qui ont aujourd'hui la quarantaine. Ainsi, le temps de l'insouciance est révolu au profit du temps de la maturité et des conséquences de la vie qui s'installe.

En bref:

            Pour ce troisième tome de la série "Hier encore, c'était l'été", on retrouve avec plaisir toute la bande d'amis que l'on avait connu durant leur jeunesse. Mais comme on suit logiquement le cours de leur vie, c'est dans leur quarantaine que nous retrouvons les protagonistes. Ainsi le temps de l'insouciance et des fausses croyances est révolu. C'est la vie avec ses hauts et ses bas qui touche notamment Alexandre où de nombreux évènements vont enrayer la surface lisse et propre de sa vie bien rangée. C'est donc le temps de la remise en question qui arrive avec la nécessité de prendre du recul et faire le point sur ce qu'est le bonheur ou d'être heureux. Ces nombreuses vagues permettent de mettre en lumière ce qu'est la vie vraie en abordant de nombreux sujets de société actuels avec des personnages réalistes et touchants.

mercredi 30 octobre 2019

La nouvelle arche, tome 1 (Julie de Lestrange)







Nationalité de l’auteur: Française
Editions Michel Lafon (25 Octobre 2018)
333 pages
ISBN-10: 2749934702
ISBN-13: 978-2749934709
Genre: Science-Fiction, Jeunesse
Lu le: 14 Octobre 2019
Ma note: 15/20



Résumé/4ème de couverture:

Spécimen : enfant maintenu en gestation artificielle pendant quinze années. Donne naissance à un membre actif et productif de la Communauté.

Mathilde est l'une des premières. Aujourd'hui âgée de 20 ans, elle s'occupe des futures générations qui grandissent au Centre. Comme elle, ces spécimens n'auront pas d'enfance. Comme elle, ils naîtront, prêts à se battre, pour affronter l'ennemi invisible qui terrorise leur Communauté. 
Aussi, lorsqu'un mal étrange frappe certaines unités, Mathilde cherche à tout prix le moyen de les sauver. Et ce qu'elle découvre pourrait bien remettre en cause sa propre humanité. 
Mais peut-on être seule à changer le monde ? 
Désormais, elle n'a plus qu'une alternative : se taire. Ou combattre

Mon avis:

            Pour commencer, je tiens à remercier du fond du coeur Julie de Lestrange pour m’avoir contacté sur Instagram et pour m’avoir proposé de découvrir sa saga jeunesse, et merci Michel Lafon pour l’envoi. Hormis les grosses sagas phares de la dystopie, je ne suis pas plus habituée que ça à ce genre. Ainsi, avec « La nouvelle arche » qui reste dans les codes classiques de la dystopie, j’ai passé un très bon moment de lecture, puisque l’univers est maîtrisé, les bases sont clairement bien identifiées et les enjeux sont tout de suite définis. 

Points de vue/Critiques:

            Du fait des multiples possibilités et de son faible ancrage dans la réalité parfois, le genre science-fiction est un genre que j’ai beaucoup de mal à apprécier, hormis quelques dystrophies que j’aime découvrir de temps en temps. Et « la nouvelle arche » regroupe tout ce que je peux apprécier dans le genre. L’univers est tout d’abord extrêmement bien maîtrisé, dont certains détails m’ont étonné tant tout est bien calculé et imaginé. Et bien que le monde imaginé par l’autrice est loin de ressembler au nôtre, on arrive à s’y projeter avec facilité, quand bien même certaines petites interrogations restent en suspend, idéal pour susciter l’intérêt et une continuité entre les différents tomes. Avec cet univers clair et posé, l’histoire découle d’elle-même ensuite, je dirais, codant peut-être un peu trop avec les codes classiques du genre. Néanmoins, c’est efficace, puisque l’on se plonge avec avidité dans cette histoire qui amène rapidement des réflexions concernant le contrôle des naissances et la préservation de l’espèce humaine en fonction des ressources. Entre l’histoire en elle-même et l’univers avec son fonctionnement et sa mise en place, de nombreuses petites interrogations restent soulevées et nous tiennent en haleine. Hâte de découvrir la suite pour lever le voile sur tout cela.

            Le seul petit bémol de ce livre pourrait résider dans les personnages, pour lesquels je reste mitigée. En effet, si d’un côté j’ai pu rapidement les cerner et les imaginés, d’un autre côté, j’aurais aimé les voir beaucoup plus développés, car certains semblent lisses et trop classiques. Mais ils n’en restent pas moins intéressants, ce qui procure un petit sentiment de frustration. Et cela concerne surtout Mathilde, le personnage principal, qui m’intéresse et m’intrigue beaucoup mais que j’aimerais vraiment voir pluie creusée. En résumé, l’intérêt des personnages est bien là, mais l’attachement, pas encore. 

En bref:

            Le premier tome de « La nouvelle arche » est une bonne lecture, qui offre un univers riche, intéressant et très bien maîtrisé dans le genre de la dystopie, offrant de la singularité dans le genre puisque les réflexions sur l’humanité et son futur en lien avec la planète sont soulevées et sont à même de nous surprendre par la suite. Dommage que les personnages ne sont pas assez creusés et que l’on n’accentue pas une certaine singularité les concernant aussi puisque l’on sent leur potentiel et qu’ils sont vraiment intéressants. Mais je sens que ce premier tome est clairement conçu pour nous distiller ce qu’il faut pour nous happer, donnant quelque chose de très prometteur pour la suite de cette saga! 

mardi 1 octobre 2019

Danser, encore (Julie de Lestrange)





Nationalité de l’auteur: Française
Editions Le livre de poche (1 Mars 2019)
numéro 35291
285 pages
ISBN-10: 2253073946
ISBN-13: 978-2253073949
Genre: Contemporain
Lu le: 25 Août 2019
Ma note: 16/20




Résumé/4ème de couverture:

Alexandre, Marco et Sophie connaissent une amitié de trente ans et autant d’amour, de blessures, de déceptions et de joies. Quand à l’âge adulte surviennent les tourments et les difficultés, le poids du quotidien et des responsabilités, sonne l’heure de faire des choix.
Mais quand le sort frappe l’un des leurs, que reste-t-il des certitudes ?
Juste un vertige, profond et déroutant, des liens indéfectibles, et parfois, comme la nécessité de respirer, le besoin de danser et celui de s’aimer.
Découvrez la bande de copains drôles et attachants qui a fait le succès d’Hier encore, c’était l’été, et plongez dans une magnifique histoire d’amitié, un hymne à l’entraide, qui fait la part belle à la vie et à notre humanité.
Mon avis:

            Après le très joli coup de cœur que j’avais eu pour le premier tome « Hier encore, c’était l’été » (que j’avais regretté de pas l’avoir lu bien avant) et en particulier pour ses personnages, il me tardait d’être au smep pour pouvoir me jeter sur cette suite et la découvrir. C’est avec plaisir que l’on retrouve les personnages principaux, Sophie, Alexandre, Marco et Anouk de façon plus mûre, bien ancrés dans leur vie d’adulte. Et c’est logiquement avec des hauts et des bas que nous avons les suivre, ce qui donne un roman emprunt de vérité et surtout, plein de vie et d’émotions.

Points de vue/Critiques:

            Alors que dans le premier tome, nous avions suivi toute une poignée de personnages liés par des relations amicales et/ou familiales, de leur enfance à leur entrée dans l’âge adulte, dans cette suite, on passe littéralement au stade de la maturité. On retrouve donc Alexandre et Sophie, mariés, parents de deux enfants, à qui on peut coller la doctrine « métro, boulot, dodo » en plus de l’anxiété liée à la maladie de leur fils ; Marco s’est installé avec Pénélope et semble prendre le chemin de la stabilité même si ses envies et sa vie de couple commencer à s’envoler ; Anouk reste égale à elle-même et vit sa vie à Londres. Pour chacun d’entre eux, le temps de l’insouciance et de la nonchalance est donc révolu.

            Car si le livre reste dans cet esprit de feel-good, il suit logiquement la maturité des personnages. Ainsi, puisque l’âge adulte est aussi synonyme de gravité et de coups durs, tous les personnages vont devoir affronter des peurs, des angoisses, des ruptures, des deuils… De nombreuses douleurs sont donc évoquées et chacun va réagir à sa manière : fuir, faire face ou se ressouder. Cette nouvelle facette emprunte d’un mélange de gravité parait tout à fait normale au vue de l’évolution des personnages et le respect de cette logique est juste très appréciable puisque cela donne la crédibilité nécessaire à une histoire et à des personnages qui nous sont attachants. Mais si on retrouve de la peine dans cette histoire, il faut aussi préciser que la bonne humeur, la joie et l’optimisme sont tout de même présents, voire majoritaires !

En bref:

            Après le très bon premier roman « Hier encore, c’était l’été », c’est un réel plaisir et délice de retrouver Alexandre, Anouk, Marco et Sophie, ces personnages simples et ordinaires, mais tellement attachants ! Fini le temps de la jeunesse et de l’insouciance, place maintenant à la maturité de l’âge adulte avec ses hauts et ses bas. Julie de Lestrange garde sa capacité à décrire la réalité, le quotidien, bref la vie de Monsieur Tout-le-monde et le fait d’intégrer de la gravité par ce que vivent et affrontent tous les personnages apportent un grain de crédibilité et de réalisme supplémentaire et surtout cela reste tout à fait logique par rapport à leur évolution. Néanmoins, la note fraîche, la bonne humeur et l’optimisme sont nettement bien présents dans cette histoire, ce qui donne une lecture merveilleuse synonyme d’ode à la vie.

Autour du livre:
  • Tome 1: Hier encore, c’était l’été (<— chronique à retrouver ici)