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vendredi 20 mars 2020

Chiisako garden





Traduction: Ryoko Akiyama
Scénario et Illustrations: Yuki Kodama
Nationalité de l’auteur: Japonaise
Editions Vega (29 Août 2019)
190 pages
ISBN-10: 2379500622
ISBN-13: 978-2379500626
Genre: Manga
Lu le: 19 Mars 2020
Ma note: 17/20



Résumé/4ème de couverture :

La petite Luna vient d'emménager avec sa famille dans une charmante maison avec un joli jardin. Et c'est dans ce carré de verdure préservé qu'elle fait la connaissance d'un petit être, avec qui elle se lie très vite d'amitié. Mais Luna est la seule à voir son minuscule ami, ce qui ne manquera pas de créer des tensions avec ses parents... Et si vous preniez le temps de tendre l'oreille ? Vous entendriez peut-être le murmure d'une de ces mystérieuses créatures lilliputiennes qui ne se dévoilent qu'a un tout petit nombre d'entre nous... Avec ce recueil de cinq nouvelles, Yuki Kodama vous emmène dans un monde plein de fantaisie et de douceur !

Mon avis:

            Devant les avis unanimes, et parce qu’il s’agit d’un manga one-shot (ce qui est assez rare dans le genre), il me tardait de découvrir cet ouvrage que j’ai eu du mal à mettre la main dessus, victime de son succès!
Dans ce manga, nous retrouvons cinq petites histoires, indépendantes les unes des autres, mais avec pour seul point commun: les chiisakos, ces petites créatures, d’apparence humaine, haute d’un pouce, qui vivent dans le jardin et qui ne sont visibles que des enfants et des adultes qui ne sont jamais tombé amoureux. Cette thématique n’est pas sans rappelé, d’un point de vue plus occidental, le mythe des fées. 
Quoiqu’il en soit, on retrouve beaucoup de tendresse tout le long de l’ouvrage. Et cette tendresse er cette douceur n’est pas forcément synonyme de mignonnerie et d’enfant. En effet, les histoires des adultes avec les chiisakos concernent à la fois des enfants, des adolescents, des adultes, en couple ou non. Il y a donc une certaine université qui permet de répertorier de façon assez large les relations entre humains et chiisakos. 

A l’image de cette tendresse et douceur qui se dégage de ce manga, le trait est très fin et simple (et, de ce fait, un peu déroutant au tout début). Il est beau, envoûtant, précis, mais aussi réaliste. Ce sont des instants de vie que la managea nous a croqué mais d’une manière précise, incisive, et elle n’a vraiment pas eu besoin de plus pour réussir à nous attendrir. A noter également que pour une fois, les personnages n’ont pas de traits asiatiques: cela ne change rien à l’histoire et aux dessins, mais cela donne une petite surprise au tout début!

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